«La pire menace qui puisse peser sur une démocratie, ce n'est pas la violence des armes, toujours ouverte et tangible, c'est la violence sournoise, insinuante, du mensonge ; c'est la manipulation des esprits, d'autant plus efficace et redoutable qu'elle revêt les oripeaux du moralisme.» ( Philippe Seguin ma référence )
Le délit de faciès était déjà avéré. Valls, dans la posture du « mini-caudillo », a la gueule de l’emploi. Quand au déni de réalité, ce n’était pas un « Poisson d’Avril » !!! Vous pouvez en juger !!!
Les images sont éloquentes. Elle se passent de commentaires !!!