….Il en restera toujours quelque chose….
Parmi les baisers célèbres, il en est de tendres, et parfois émouvants. Certains ont « défrayé » la chronique, d’autres sont passés inaperçus car ils n’ont pas franchi les frontières de l’intimité….
Il en est qui sont « sulfureux », et qui suscitent toutes sortes de réactions, qui peuvent aller de la surprise, en passant par l’ironie, à bien d’autres sentiments encore, qui peuvent aller jusqu’au sentiment de répulsion.
Je n’insisterai pas sur les baisers « récupérés » par la « doxa » actuelle, qui voit des homosexuels partout, même là où il n’y a que des athlètes heureuses sur un podium…
Ce large éventail de baisers vous laisse le choix. A vous de les « interpréter » !!!
Restera posée la question quasi « métaphysique », et éternelle :
le baiser est-il toujours une preuve d’Amour ???
Bonjour Berdepas,
Une petite précision mérite d’être apportée à votre article (en toute modestie, bien sûr) : vous n’avez pas mentionné le baise-main (un baiser, donc), qui est un acte de soumission. Dans la religion chrétienne, il s’agit d’affirmer sa soumission à son « supérieur » religieux ; et chez les aristocrates, auprès de sa mie.
Cela dit, j’aimerais répondre à votre question de conclusion, par une question : existe t-il encore quelque chose de notre passé, de notre culture qui ne soit déformé pour être malaxé à une sauce personnelle égotiste, au point de diluer l’identité nationale ? J’ai beau cherché, je ne trouve pas.
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